Affaire Bonnemaison : « l’acquittement déguisé »
Samedi 24 octobre 2015, l’urgentiste de l’hôpital de Bayonne Nicolas Bonnemaison a été condamné à deux ans de prison avec sursis. Motif : avoir accéléré la mort de sept de ses patients, à la vie desquels il a définitivement mis un terme sans prendre le soin de les en informer, tout comme leurs proches. La Cours