Affaire du Mistral: l’abandon de la souveraineté
François Hollande a finalement cédé aux pressions étatsunienne et européenne. Washington, via son ambassadeur auprès de l’Union européenne, déclarait que « Cette vente n’est pas la bienvenue compte tenu de ce qui se passe dans cette partie du monde », faisant référence au conflit ukrainien. Même position pour le président du groupe du Parti populaire